Remises de prix, rencontres de haut niveau, salons professionnels, séminaires en ligne… L’Afrique vit aussi au rythme de ces rendez-vous avec elle-même. Ils continuent de faire vivre la richesse intellectuelle et entrepreneuriale du continent.
Focus : Le potentiel minier de la Côte d’Ivoire
La Côte d’Ivoire n’est pas le pays dont le nom vient aussitôt à l’esprit lorsque l’on parle de mines. Pourtant, le pays revendique un certain potentiel dans ce domaine. Et les derniers jours ont été fertiles en annonces. On a ainsi appris que le pays avait produit un record de 48 tonnes de minerai aurifère en 2022, soit une hausse de 14% en un an. Essentiellement industrielle, la production d’or est l’affaire de trois compagnies basées en Australie et au Canada, pour environ 25 tonnes. Persus Mining revendique 10 tonnes sur ses deux sites, Yaouré et Sissingué ; Endeavour a extrait 9 tonnes à Ity et Barrick Gold 5,7 tonnes à Tongon.
Le pays ambitionne de dépasser la barre des 50 tonnes cette année, grâce à l’entrée en production de deux nouvelles mines : Abujar est en service depuis janvier 2023 et Séguéla ouvrira dans quelques mois. La mine d’Abujar (photo), détenue par Tietto Minerals, a d’ailleurs annoncé ce 20 mars qu’elle avait atteint sa pleine capacité de production. Le site, à ciel ouvert aujourd’hui, devrait être exploité dix à douze ans, après des investissements en sous-sol.
Les professionnels estiment que la Côte d’Ivoire pourrait produire 65 millions de tonnes en 2025.
Tous secteurs miniers confondus, de 2016 à 2021, 414 titres et autorisations minières ont été accordées à des opérateurs ayant satisfait aux conditions requises. L’administration a accordé 116 permis de recherche attribués et onze permis d’exploitation. La production de nickel latérique, par exemple, pourrait passer de 1 840 000 tonnes en 2022 à plus de 2 500 000 tonnes. Le pays regorge aussi de cobalt de manganèse et autres dérivés du platine.
Le secteur minier a contribué à hauteur de 3% au PIB de la Côte d’Ivoire en 2021 et cette part pourrait se porter 7% à horizon 2030.
Le secteur a également besoin de compétences et est donc créateur d’emplois : Il s’agit de l’exploration analyse, l’exploitation production, la gestion matériel-maintenance et industrialisation, qualité hygiène sécurité environnement (QHSE), logistique, direction et services supports, etc.
Selon le Code minier, chaque compagnie reverse 0,5% de son chiffre d’affaires à un comité de développement chargé de mener des projets sociaux. Soit un peu plus de 3 milliards de F.CFA en 2021.
Vous voulez faire connaître un événement économique, politique, culturel, relatif à l’Afrique ou à la diaspora ? Contactez l.soucaille@icpublications.com pour une insertion dans le présent agenda.
Autant d’éléments qui seront précisés lors du deuxième symposium mine Côte d’Ivoire, qui se déroulera les 30 et 31 mars 2023 au Sofitel Abidjan. Son thème sera « Quelle politique de contenu local pour un secteur minier durable et performant ? ». En effet, « il est nécessaire de veiller à ce que cette croissance soit soutenue par une politique de contenu local qui permette de maximiser les retombées pour la communauté », explique la plaquette de présentation. On doit cette réunion au Groupement professionnel des miniers de Côte d’Ivoire (Gpmci). L’événement réunira tous les professionnels et décideurs de la filière et constituera une opportunité pour les sous-traitants et fournisseurs de rencontrer les géants du secteur. Un espace de formation et d’information sera réservé aux étudiants. L’occasion, selon les promoteurs du symposium, de mettre à mal la « mauvaise réputation » dont souffre le secteur minier.
En savoir plus sur symposiummine.ci.
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Dernière minute :
Le British Council’s Innovation for African Universities présentera le résultat son projet pilote unique en Afrique subsaharienne visant à combler le fossé entre les demandeurs d’emploi et les créateurs d’emploi pour la jeunesse africaine. L’événement se déroule au Ghana ,au Accra International Conference Centre, le 24 mars 2023 24 mars 2023.
Lors de cet événement de l’AIU, le British Council réunira l’industrie, les investisseurs, les créateurs et les universités pour présenter les premiers résultats de son cycle de subventions dans quatre pays pilotes en Afrique subsaharienne (Ghana, Nigeria, Kenya et Afrique du Sud). (Ghana, Nigeria, Kenya et Afrique du Sud).
À suivre en ligne ICI.
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PRINCIPAUX ÉVÉNEMENTS
PowerElec Nigeria ; du 27 au 29 mars, Lagos (Nigeria)
Le marché nigérian de l’électricité devrait enregistrer une croissance annuelle de 13 % au cours sur la période 2022-2027. La crise sanitaire a eu un impact positif sur la distribution de l’électricité au Nigeria. Par exemple, à Lagos, la plus grande ville du pays, 43 % de la demande totale d’électricité provient du secteur résidentiel.
Dans le cadre du confinement, la demande d’électricité du secteur résidentiel a fortement augmenté, jusqu’à 49 %, ce qui a obligé les compagnies de distribution d’électricité à faire face à une réorientation de la demande d’électricité et à des changements dans la répartition de la charge énergétique. Ce facteur a nécessité un plus grand nombre de projets d’électricité ou de projets de modification de l’infrastructure électrique.
Le marché nigérian de l’électricité est largement stimulé par des politiques gouvernementales favorables et une tendance croissante à la privatisation du secteur de l’électricité, ce qui peut attirer davantage d’investissements dans le secteur. Cependant, l’absence d’infrastructures adéquates dans le secteur de l’électricité et le manque de main-d’œuvre locale qualifiée entravent le marché.
Autant d’éléments qui seront discutés lors du cinquième forum Powerelec Nigeria qui se déroulera du 27 au 29 mars à Lagos. Ce Salon international de l’électricité, de l’énergie, des énergies renouvelables et de l’industrie électrique présentera toutes les nouveautés en la matière. L’Inde et l’Égypte y tiendront un pavillon particulier.
À suivre sur powerelecafrica.com.
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SIETTA ; du 6 au 8 avril 2023, à Abidjan (Côte d’Ivoire)
Le Salon international des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde (SIETTA) vise à contribuer à l’émergence d’une industrie de l’anacarde en Côte d’Ivoire et en Afrique de l’Ouest. Ce, par la promotion et la vulgarisation des innovations en matière d’équipements et de technologies de transformation. Il constitue également une plateforme de rencontres d’affaires entre professionnels du secteur et un cadre d’échanges sur les problématiques de l’industrie mondiale du cajou.
De façon spécifique, les objectifs de ce salon professionnel sont de soutenir et valoriser le secteur de l’anacarde ; d’augmenter le taux de transformation en Côte d’Ivoire en attirant les décideurs et investisseurs à s’intéresser à la chaîne de valeurs de l’anacarde ; de mettre en relation les professionnels équipementiers du monde entier.
La quatrième édition du SIETTA se tiendra du 6 au 8 avril 2023, sur le thème central, « Contribution de l’industrie du cajou à la résilience des économies africaines face aux enjeux économiques mondiaux. » Plutôt orienté vers les professionnels de la filière, le Salon est ouvert au grand public.
Et consultable en ligne sur sietta.net.
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Forum Afrique du CIAN 2023 ; 18 avril 2023, à Paris (France)
« Business avec l’Afrique : l’heure du New Deal. » Tel est le thème du forum annuel du Conseil français des investisseurs en Afrique, organisé avec le quotidien L’Opinion.
La reconstruction de l’ordre économique mondial pose un défi à l’Afrique, mais lui offre aussi des opportunités inespérées. Car le continent dispose de solides atouts pour assurer son avenir et négocier de nouvelles alliances avec ses partenaires, au premier rang desquels l’Europe, expliquent les organisateurs.
Le Continent, qui est déjà un fournisseur majeur de l’Union européenne sur le plan énergétique, dispose d’immenses réserves encore inexploitées et verra sa production de gaz naturel tripler d’ici à 2035.
L’Afrique peut aussi sécuriser l’accès aux matières premières stratégiques et aux métaux rares indispensables à la transition énergétique. Grâce à son patrimoine vert et son potentiel solaire, éolien et hydroélectrique, le continent peut également aider l’Europe à développer les énergies du futur, comme l’hydrogène vert, et à compenser les émissions carbone de ses entreprises. Enfin, l’innovation dans les Fintech, la Blockchain et les solutions de paiements mobiles draine des flux toujours plus importants d’investissements étrangers.
C’est pourquoi le CIAN organise ce rendez-vous qui entend promouvoir une vision positive et dynamique d’un continent plus que jamais au cœur des enjeux de la planète.
Renseignements sur forum-afrique-cian.fr/.
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Sommet Royaume-Uni – Afrique ; les 23 et 24 avril 2024 à Londres
En 2020, le Sommet Afrique – Royaume-Uni avait été le théâtre de près de trente signatures de contrats, pour 7,5 milliards d’euros environ. En sera-t-il de même pour ce rendez-vous d’avril 2023, orchestré par le Premier ministre britannique Rishi Sunak ? Qui attend l’arrivée de 24 délégations africaines et de nombreux chefs d’entreprise.
L’objectif est de « renforcer les partenariats entre le Royaume-Uni et l’Afrique afin de créer des emplois et d’accélérer la croissance, en soutenant les talents britanniques et africains dans des secteurs tels que la finance et la technologie, et en promouvant l’entrepreneuriat féminin », promet le gouvernement britannique.
« Ce sommet nous permettra d’exploiter le potentiel de nos relations à travers l’Afrique et de développer nos économies ensemble, pour les rendre plus fortes, plus résistantes et plus innovantes », souligne Rishi Sunak dans un communiqué.

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Cyber Africa Forum ; les 24 et 25 avril 2023, Abidjan (Côte d’Ivoire).
L’économie numérique africaine pourrait atteindre 180 milliards de dollars d’ici à 2025, soit 5,2 % du PIB du continent africain. « Cette accélération fulgurante est une source d’opportunités et exige des gouvernements africains de sécuriser leurs économies », explique l’expert en sécurité informatique Franck Kié. Qui souhaite des réglementations plus fortes en matière de cybersécurité et une action coordonnée afin de contrer les menaces actuelles et à venir.

Ces enjeux seront débattus lors de la troisième édition du Cyber Africa Forum (CAF) qui se déroulera à Abidjan (Côte d’Ivoire) les 24 et 25 avril 2023. Placé sous le thème « Enjeux, acteurs et partenariats : quelles solutions pour sécuriser la transformation digitale de l’Afrique ? », le Forum abordera cette année la nécessité de renforcer les partenariats multisectoriels et transnationaux en matière de sécurité numérique.
Les organisateurs attendent plus de 1 200 participants, parmi lesquels des acteurs économiques, des décideurs clés des secteurs public et privé, des entrepreneurs de la Tech et des Fintechs.
Pendant deux jours, de nombreux temps forts animeront l’événement, dont des conférences, des tables rondes, des ateliers, des side events, des déjeuners d’affaires B to B et des sessions de travail.
L’initiative Cyber Africa Women mettra à l’honneur les femmes dans le secteur numérique. Par ailleurs, un exercice de sensibilisation à la gestion de crise cyber réunira les décideurs présents afin d’encourager des actions concrètes pour contrer les menaces actuelles et à venir. Un hackathon réunira également une trentaine de talents autour de diverses épreuves.
Parmi les personnalités attendues, Amadou Coulibaly, ministre de la Communication et de l’économie numérique (Côte d’Ivoire), Aurélie Adam Soulé Zoumarou, ministre du Numérique et de la digitalisation (Bénin), Patrick Muyaya Katembwe, ministre des Communications et médias de RD Congo, Ousmane Gaoual Diallo, ministre des Postes, des télécommunications et de l’économie numérique (Guinée).
À suivre sur cyberafricaforum.com.
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African Unicorns ; le 27 avril à Casablanca (Maroc)
En 2016, l’Afrique enregistrait sa première licorne. Aujourd’hui, le continent en compte près d’une dizaine. Le continent africain a vu se structurer un véritable écosystème de start-up dont le nombre, ces dernières années, a été multiplié par trois et ne cessera d’augmenter. Bien qu’en retard, l’Afrique francophone se montre de plus en plus attractive avec notamment l’Algérie, la Tunisie, le Maroc et le Sénégal.
Créée à l’initiative de Mehdi El Alu, la rencontre African Unicorns recense et valorise les réussites exceptionnelles des créateurs-entrepreneurs africains dans le domaine de la technologie afin de mettre en relation les géants de la technologie et les investisseurs avec les start-up pour encourager l’accélération du secteur et faciliter les collaborations.
Sur la base d’une cinquantaine de start-up identifiées, douze trophées seront remis selon sept catégories, dont le trophée ESG. L’événement organisera trois tables rondes, dont une qui se concentrera sur l’impact des start-up africaines sur l’offre de santé sur le continent et dans le monde avec Zineb Keitouni ( DabaDoc-Maroc), Nomsa Nteleko ( Amathuba-Afrique du Sud) et Jean Lobe Lobe ( Waspito-Cameroun)
En savoir plus sur african-unicorns.net.
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Financing investment and trade in Africa ; les 3 et 4 mai 2023 à Tunis (Tunisie)
Où en est l’Afrique face à la crise énergétique mondiale ? Est-elle capable d’offrir des alternatives crédibles en matière de sécurité alimentaire ? Où en est le développement du Commerce interafricain et la Zone de libre-échange ?
Tels seront quelques-uns des thèmes abordés lors de la sixième édition de la Conférence internationale « Financing investment and trade in Africa » (FITA2023). L’événement se tiendra les 3 et 4 mai 2023, à Tunis. Il comptera la participation de 750 dirigeants africains et internationaux, venus d’une cinquantaine de pays.
La manifestation en question débattra aussi de la transformation digitale en Afrique, de l’avancement de la route Transsaharienne comme levier de développement économique et du rôle du Private Equity et des fonds d’investissement, dans le financement des projets structurants en Afrique.
On doit cette initiative au Conseil d’affaires tuniso-africain (TABC). L’événement se veut un des rendez-vous les plus importants en Afrique et un espace d’échanges pour développer des affaires, chercher des financements et construire des partenariats solides. En deux jours, quelque 3000 rencontres sont possibles entre dirigeants et entre dirigeants représentants de l’État.
Renseignements sur tabc.org.tn et la page Linkedin.
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Mining on Top Africa ; les 12 et 13 juillet 2023, à Paris
La sixième conférence Mining On Top Africa (MOTA) se tiendra à Paris les 12 et 13 juillet 2023, après une brève période d’interruption. L’événement sert de forum stratégique pour les principales parties prenantes européennes qui peuvent ainsi se mettre en contact avec des sociétés d’exploration minière et métallurgique d’Afrique. De nombreux pays africains seront représentés
La MOTA est un événement qui réunira notamment des sociétés d’exploitation et d’exploration minières, des représentants des gouvernements et des investisseurs, résolus à relever les principaux défis auxquels sont confrontés les partenaires stratégiques et financiers dans le cadre de leurs investissements dans l’industrie minière en Afrique.
La conférence traitera de questions essentielles telles que les pratiques minières responsables, le nécessaire souci de transparence dans le secteur minier et le rôle des gouvernements et des autres parties prenantes dans la promotion de l’exploitation minière durable en Afrique.
Voir sur : miningontop-africa.com.
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ÉGALEMENT SUR L’AGENDA
Le prochain rendez-vous de l’Africa Now Business se déroulera à Douala, au Cameroun, du 10 au 15 avril 2023. Cette étape préparatoire à un grand forum organisé également à Douala, du 16 au 21 octobre, permettra une série de rendez-vous personnalisés et ciblés en fonction du profil des partenaires recherchés, des rencontres clefs, des ateliers, et des visites de site pour une meilleure compréhension de la sphère économique camerounaise. L’occasion d’identifier des investissements et de trouver des partenaires sur place. Ce, dans un contexte d’amélioration du climat des affaires au Cameroun.
Renseignements sur africa-now.org.
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Après trois années d’absence, le Salon international de l’agriculture au Maroc, le SIAM, tiendra sa quinzième édition, du 2 au 7 mai 2023. L’événement aura pour thème « Génération Green : Pour une souveraineté alimentaire durable ». Il accueillera le Royaume-Uni comme pays à l’honneur. Ce choix reflète l’« excellence des relations ancestrales qui lient les deux pays et offre aux participants une belle opportunité pour découvrir et explorer la richesse et la diversité de l’agriculture britannique », expliquent les organisateurs.
Déployé sur une superficie de 18 ha dont 11 ha couverts, le SIAM devrait accueillir 900 000 visiteurs, 1400 exposants et 65 pays participants.
Le Salon est organisé autour de dix pôles différents et abritera près de quarante conférences sur différentes thématiques en relation avec le thème de l’édition et avec les actualités agricoles.
Programme sur : salon-agriculture.ma.
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Dakar accueillera, les 12 et 13 juin 2023, la 8e édition du Forum international de la finance islamique. Sous le parrainage du président sénégalais Macky Sall, ainsi que de Muhammad Sulaiman Al Jasser, président de la BID (Banque islamique de développement). Devrait intervenir Alassane Ouattara, président de la Côte d’Ivoire, invité d’honneur de l’événement.
Lequel sera centré sur les opportunités de financement du secteur de l’énergie (pétrole, gaz, énergies renouvelables) ainsi que sur la sécurité alimentaire de l’Afrique. Une séance plénière abordera le domaine de la Fintech islamique.
En savoir plus sur : dakariff.com
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À savoir :
Le SIEL resterait à Rabat
L’édition 2023 du SIEL (Salon international de l’édition et du livre) se déroulera du 1er au 11 juin; et pour la deuxième année consécutive, ce rendez-vous se déroulera à Rabat, selon la presse marocaine. En 2022, le choix de quitter Casablanca avait été contesté par les professionnels. Ceux-ci ont reconnu que l’organisation et le choix du lieu étaient mieux adaptés à un tel événement, en dépit d’une fréquentation en baisse de moitié.
Si les dates sont confirmées, le SIEL se déroulerait donc en même temps que le Salon du livre de Tanger, organisé par l’institut français du Maroc, et l’initiative Littératures itinérantes. Concurrence ou synergies ? L’expérience le dira. En 2022, le SIEL avait vu la participation de 237 exposants venus de 57 pays.
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Africa Fashion Up, premier événement parisien d’envergure dédié à la mode africaine contemporaine, revient cette année pour une troisième édition placée sous le signe de l’audace et de l’originalité, tout en accordant une place de choix à la mode éthique et durable. Les futurs lauréats sélectionnés auront la chance de présenter leurs créations originales lors d’un grand défilé de mode qui se tiendra le 7 juillet au Musée du Quai Branly – Jacques Chirac. L’appel à candidatures est ouvert jusqu’au 15 avril.
À suivre sur www.africafashionup.com.
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La prochaine édition de l’African Energy Week se déroulera du 16 au 20 octobre au Cap (Afrique du Sud). On doit cette initiative à la Chambre africaine de l’énergie (AEC). AEW s’est imposé comme un des plus grands rassemblements de décideurs et de gouvernements africains, d’entreprises et de régulateurs du secteur public, d’acteurs régionaux et internationaux ainsi que de cadres et d’investisseurs du secteur privé pour discuter de l’état des lieux de l’avenir énergétique de l’Afrique.
AEW 2023 prévoit de multiplier ces chiffres par deux, en diversifiant les thèmes des conférences, en accueillant une multitude de délégations de pays et de dirigeants du secteur privé, tout en proposant des forums de mise en réseau nouveaux et améliorés qui promettent de nouvelles opportunités de partenariats et de collaborations.
À noter que l’AEC n’a pas réussi à se mettre d’accord avec les organisateurs de l’Africa Oil Week pour créer un événement commun, les deux manifestations resteront donc distinctes.
En savoir plus sur aecweek.com
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IATF2023, le « marché de la ZLECAF » se déroulera du 21 au 27 novembre 2023, à Abidjan (Côte d’Ivoire). Organisée par Afreximbank en collaboration avec l’Union africaine et le Secrétariat de la ZLECAf, l’IATF2023 offre « une multitude d’opportunités de réseautage avec les principaux acteurs commerciaux et politiques africains ». Rencontres entre professionnels, avec des entreprises, des institutions publiques… ainsi que de nombreux accords sont attendus à l’occasion de cet événement.
Les organisateurs prévoient déjà plus de 1 600 exposants et plus de 35 000 délégués.
Renseignements ICI.
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La troisième édition de la MSGBC Oil, Gas & Power Conference & Exhibition aura lieu en Mauritanie les 21 et 22 novembre 2023. Ce, sous le patronage de Mohamed Ould Cheik Ghazouani, président de la République de Mauritanie, en partenariat avec le ministère du Pétrole, de l’énergie et des mines, la Société mauritanienne des hydrocarbures et de patrimoine minier (SMHPM), Petrosen, Cos Petrogaz et la Chambre africaine de l’énergie.
L’événement réunira des leaders du secteur, des décideurs politiques, des investisseurs, des chefs de gouvernement et des acteurs locaux. Des discours liminaires, des exposés, des débats d’experts, des expositions et des sessions de réseautage se succèderont pendant deux jours afin de favoriser les investissements et la conclusion de marchés dans tous les domaines des chaînes de valeur énergétiques de la région MSGBC (Mauritanie, Sénégal, Gambie, Guinée-Bissau et Guinée-Conakry).
En savoir plus sur : https://energycapitalpower.com/
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Qui sommes-nous ?
@NA
8 Commentaires
La chambre de commerce internationale et la CNUDCI organisent le 28 septembre prochain avec le ministère du commerce et des PME du Sénégal sur la numérisation des pratiques du commerce international en Afrique.
Je sui à votre disposition pour plus d’informations et vous fournir le programme complet.
La numérisation des pratiques du commerce international en Afrique nous intéresse au plus haut point quant au commerce international en République Démocratique du Congo c’est une problématique.
Way ϲool! Some extremely valid points! I appreciate you
writing this post and also the rest of the website is also гeally go᧐d.
Nous organisons le festival International de Saly Portudal du 04 au 18 juin 2022 à Saly Portudal Sénégal.
Pour toutes autres informations, contacter microassurance@gmail.com
Bonjour je voudrais savoir si NS pouvons participe ? NS sommes une ONG dans le domaine du développement .
Bonjour, participer à quoi ?
bonjour je suis fofana sina je souhaiterais participer au forum d’abidjan
On souhaite que l’Afrique se relèvera au sommet à la sortie de ces assises.