x
Close
Energie

Aenergy, première entreprise africaine à recevoir une certification anti-corruption

Aenergy, première entreprise africaine à recevoir une certification anti-corruption
  • Publiéavril 15, 2019

Aenergy, l’une des principales entreprises africaines du secteur de l’énergie et des transports, est devenue la première du continent à être distinguée par le Bureau Veritas pour ses pratiques professionnelles exceptionnelles.

Par NAF

Aenergy, société angolaise exploitant la plus importante centrale thermique du pays et fournisseur de moteurs de locomotive aux chemins de fer nationaux, a reçu le certificat de conformité au « Système de management anti-corruption ».

La certification ISO 37001 reflète les mesures proactives de lutte anti-corruption qu’Aenergy a su adopter pour se développer de façon transparente en Afrique. Le Bureau Veritas a également constaté que l’entreprise, basée à Luanda, s’appuie sur les normes internationales de sauvegarde et d’activité commerciale.

Aenergy est une société panafricaine qui possède trois bureaux en Afrique et un au Portugal. La société mène actuellement plusieurs projets en Afrique et dans le monde, notamment au Ghana, au Cameroun, en Namibie, à Singapour, au Royaume-Uni et aux États-Unis.

« Cette certification témoigne des valeurs éthiques et de la stratégie anticipative d’Aenergy dans toutes ses activités en Afrique. Nous avons pour objectif de devenir le chef de file dans le domaine de l’énergie renouvelable et du financement climatique ; de fournir de meilleures conditions de vie et de créer des emplois pour les Africains sur l’ensemble du continent », a déclaré Ricardo Machado, Président d’Aenergy.

Aenergy est une société panafricaine qui possède trois bureaux en Afrique et un au Portugal. La société mène actuellement plusieurs projets en Afrique et dans le monde, notamment au Ghana, au Cameroun, en Namibie, à Singapour, au Royaume-Uni et aux États-Unis.

Dans son engagement en faveur de l’innovation, Aenergy prévoit également d’émettre des « obligations vertes » à hauteur de 400 millions USD dans le cadre de projets d’énergie renouvelable en Afrique.

Écrit par
NAF

Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *